Valeur d'un couteau purement artisanal
Nous ne proposons ici que des produits d'exception qui ont fait leurs preuves. Premier site de vente par correspondance de couteaux japonais en France, nous avons acquis une expérience de plus de 25 ans dans ce domaine. Hormis l'incontournable design type 301 de Chroma, nous ne travaillons qu'avec de petites manufactures à taille humaine et des artisans s'inscrivant dans une perspective d'héritage artistique sur plusieurs générations. Nous ne cédons pas aux sollicitations des multinationales ayant copié des modèles originaux car pour nous une copie restera toujours une copie.
Une maxime japonaise dit que "la perfection d'un objet relève autant de la qualité de l'objet que du parcours ayant mené à sa réalisation, les matériaux s'imprégnant de la nature humaine de celui qui les fabrique" et nous souscrivons entièrement à cela en allant à la rencontre des maîtres-katana à l'ouvrage car derrière les couteaux il y a des hommes. Les artisans que nous fréquentons sont très humbles. Ils ne pensent pas qu'au bout de 40 ans ils maîtrisent leur art, mais ces 40 ans doivent faire la symbiose de l'acquis transmis par les ancêtres. Dans notre domaine la valeur attend le nombre d'années, c'est la raison pour laquelle il y a peu de jeunes acteurs dans le métier. Nombre de couteaux forgés par les maîtres-couteliers comme Ebuchi Kouhei prennent plus de valeur à la mort du Maître que de leur vivant vu les faibles quantités produites et le savoir-faire transmis ainsi "figé dans le marbre" pour les générations futures.
Ne tombez pas dans le piège d'un produit moins cher et moins bien fini ou dans celui des couches survendues alors que la méthode de comptage est différente. C'est expliqué sur le site de Chroma France. Nos couteaux ont une histoire, ils sont le reflet d'une culture ancienne transmise de pères en fils depuis au-moins plus d'un siècle, c'est le cas également des grandes manufactures représentées, Kasumi, Masahiro, Haiku. Vous achetez un morceau de culture japonaise. Le prix est en rapport car qui pourrait prétendre fixer le prix de la culture ?